Paris, fin XIX. La découverte de la féélectricité a révolutionné le monde : partout, les lumières illuminent la nuit, les machines s’animent, les téléphones parlent. Mais pour éclairer la Tour Effeil, il faut produire, beaucoup produire. Armand, jeune ingénieur tout juste diplômé, est appelé dans l’une des usines du centre Paris pour remédier à la baisse de productivité. Mais les ouvrières sont-elles vraiment la cause du problème ? La féélectricité est-elle vraiment une science comme une autre ?
Ma première nouvelle, publiée dans une anthologie qui se sert de l’imaginaire pour aborder les réflexion autour de la lutte des classes et du féminisme. Elle est bien entourée et vous m’avez probablement déjà vu la dédicacer en salon, car la collection fait son bout de chemin et séduit de plus en plus ! Comme dit Aderu sur Babelio, c’est « Un beau petit objet, accessible, à la lecture comme à l’achat, qui mérite d’être lu. »
Et pour le plaisir, quelques critiques de ma nouvelle :
« J’ai aimé me plonger dans Mécanique & Lutte des classes tant pour la qualité de sa prose et la construction de ses récits que par l’intérêt des thèmes évoqués. » Lenocherdesvilles
« On ressort grandi de cette nouvelle qui invite à réfléchir sur de meilleures conditions de travail ». Miss Amelia Chatterton, avis complet sur Babelio.
Vous pouvez la commander chez votre libraire ou sur le site des éditions Oneiroi.
Si vous avez aimé ce mélange de steampunk et d’urban fantasy qui utilise les fées comme source d’énergie, je vous conseille la lecture de la série « Sortilèges et Engrenages » d’Adrien Thomas ou, pour commencer, sa nouvelle « L’énergie du désespoir », accessible pour 2€ chez 1115 éditions. J’adore de mon côté !